jeudi 12 juillet 2012

Hollywood

Darren Bader, Sandwich 3, 2012

Thomas Schutte, cheminée, gravure sur bois, 2011

Roy Lichtenstein, non identifié, gravure sur bois, années 50


 
Llyn Foulkes, made in Hollywood, 1983

Fergus Feehily, Dovetail, 2011, bois et tissu

Sherrie Levine, After Walker Evans, negative 3, 1990


Jennifer Bolande, smoke screen, 2007


Gedi Sibony, Erios, 2007 (photo Aurélien Mole)


Henni Alftan, the midnight society, 2009


Rachel Feinstein, adam & eve, 2007


Richard Tuttle, Source of Imagery VII (1995), 2010, 114 x 96 x 32 cm 


Richard Artschwager, Book III (Laocoón) 1981


David Shaw, untitled, 1999


Larmarche-Ovize, Fiction, 2011

Thomas Schutte, mur de briques, gravure sur bois 2011 (et détail)


Aaron Curry & Richard Hawkins, Alistair McOdetoo #1 (detail) 2011 


Sarah Tritz, Humain trop, 2009 (vue de Outre-Forêt, 2010)


Emilie Perotto, des vessies pour des lanternes, 2009


Roy Lichtenstein, entablatures, 1970's

Une suite de jeux sur la texture et présence du bois, qui m'intéresse dans la logique de la simulation et du trompe l'oeil, sur la façon dont on tente de comprendre une matière en la digérant dans son système formel. Encore une fois à la suite de trouvaille successives et rapprochées dans le temps (Jennifer Bolande et Darren Bader) qui font remonter le souvenir d'autres oeuvres, mes classiques perpétuels (Lichtenstein, Tuttle, Curry) dont la sensibilisation à ses questions a sans doute été préparée en amont par d'autres oeuvres (Sarah Tritz, Lamarche-Ovize, Thomas Schutte).

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